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Articles

Affichage des articles du août, 2011

la bande annonce de la semaine

Jesse et Kate emménagent dans le manoir où habitaient les parents de Jesse quelques 30 années plus tôt. (Vous avez remarqué cette fâcheuse tendance qu’ont ces gens à hériter de vieilles bicoques hantées ? Le pire étant qu’ils persistent à accepter d’aller y vivre, malgré la pléthore de films sur le sujet pour les prévenir du malheur qui les guète…)Lire la suite chez horreur.com : http://www.horreur.com/critique-758-house-2.html
Réalisé par Carl Reiner Avec Steve Martin , Kathleen Turner , David Warner , plus Titre original : The Man with Two Brains Long-métrage américain . Genre : Comédie , Fantastique Durée : 01h33min Année de production : 1983   Résumé : Le docteur Hfuhruhurr est neurochirurgien et l'inventeur de la méthode du "dévissage crânien" qui a ouvert des horizons illimités. Son cabinet ne désemplit pas et sa gloire lui aurait depuis longtemps valu le prix Nobel s'il n'était affligé d'un nom ridicule. Veuf inconsolable, Hfuhruhurr est aussi un mégalomane frénétique qui consacre son temps à faire l'éloge de son génie et à courtiser la presse. Un jour, il heurte avec sa voiture une jeune femme, Dolores, qu'il sauve aussitôt grâce à une délicate opération du cerveau. Elle le remercie avec un tel enthousiasme que le docteur, envoûté, décide de l'épouser. Or, la belle refuse les avances de Michael... mais s'intéresse fortement à d'a

Le film du week end

Réalisé par Bob Balaban à la fin des années 80, Parents se déroule dans les années 50. Une famille composée d'un couple, Nick et Lily, et de leur enfant Michael âgé d'une dizaine d'année, vient juste de s'installer dans un beau pavillon où toutes les maisons se ressemblent et où la vie des gens semble paisible. Pour en savoir plus : direction horreur.com

Le crocodile de la mort / Titre original : Eaten Alive 1977

Au cœur de la Louisiane, une jeune prostituée qui cherche un endroit pour la nuit, échoue à l’hôtel Starlight. Le gérant du motel est un maniaque qui, dans ses accès de folies, offre ses clients aux redoutables mâchoires de son alligator. L’animal qui intéresse Hooper n’est pas le crocodile mais l’homme. Anecdote : Passé le générique d’ouverture, Hooper nous offre sa note d’intention en guise de premier plan avec un cadrage sur l’entrejambe de son acteur. Ce dernier (le génial Robert Freddy Englund) lâche sa réplique « My name is Buck and I’m here to fuck » (celle-ci deviendra culte après que Tarantino l’ait réutilisée dans Kill Bill ).

la bande annonce de la semaine

Stuck - Bande annonce (VF)

le petit achat a conseiller.... un excellent ouvrage sur le réalisateur.

Le Petit Livre de William Friedkin G. Boulenger broché | Édition le Cinephage  | juillet 1997  .

"Into the Night" " Série noire pour une nuit blanche" de John LANDIS

Allez,  le petit film à conseiller pour le week end ...Pour ma part un de mes "Landis" préféré , vu un samedi soir au cinéma à sa sortie en 1985 ( retour en taxi ) ;)  ....et bien sur vu et revu depuis , je ne m'en lasse pas. Je le citerai comme un "Road movie en ville " Résumé :  Ed Okin ne contrôle plus sa vie. Il est insomniaque, sa femme le trompe et son travail est sans intérêt. Une nuit qu'il erre au hasard en voiture, il se retrouve au parking de l'aéroport de Los Angeles. Peu de temps après Diane, une magnifique jeune femme, saute dans sa voiture et la somme de démarrer car ils sont poursuivis par quatre Iraniens. Une folle course poursuite s'ensuit dans les rues de la ville... le casting est réellement impressionnant   : "jeff goldblum ,michelle pfeiffer, David Bowie, Iréne Papas, Roger Vadim, Dan Ackroyd, David Cronenberg, Vera Miles, Paul Mazurski etc, etc, même John Landis dans le rôle d'un psychopathe iranien)

Night of the Creeps / La nuit des Sangsues.

un de mes films cultes signé Fred Dekker.

The EXORCIST

Un plateau de tournage réfrigéré , dans sa logique d'homme de documentaire, Friedkin souhaite reconstituer la réalité physique du film sur le plateau de tournage. Puisque l'exorcisme final est censé se passer dans une atmosphère glaciale, Friedkin exige que le plateau soit réfrigéré afin que l'on puisse voir la buée sortir de la bouche des comédiens. En vérité, il y a fort à parier que Friedkin recherche surtout à compliquer au maximum ses propres prises de vues, afin d'immiscer la fameuse tension que le cinéaste souhaite tant imprimer au film. En effet, la quantité de lumière nécessaire aux prises de vues réchauffe très vite le plateau, annulant l'effet de buée. Il faut constamment s'arrêter de travailler, le temps d'éteindre les projecteurs afin que la température rebaisse lentement. Le rythme de tournage est donc considérablement ralenti, et la pression sur l'équipe se fait de plus en plus écrasante. Chaque plan devient très long à compléter, et cha